Pour le plaisir des yeux et parce que le soleil commence à me manquer cruellement, je vous gratifie de cette photo d'un oiseau suicidaire ou juste perdu dans ses pensées. Qui a dit que les animaux n'avaient pas d'âmes?
Quoi qu'il en soit, ce piaf au bord du précipice me donne envie de faire le chat qui s'étire en me roulant dans l'herbe farineuse de mon jardin vert fluo.

      Aujourd'hui, on pourrait larver devant le feuilleton de M6 ou manger des chipster devant un dvix. Aller faire un footing et transpirer des hectolitres de sueurs qu'on sèmerait par goutelettes comme le petit Poucet. (je suis effectivement en vacances, c'est bien pour ça que je ne pense même pas à "bosser derrière son bureau et se coltiner une sciatique")
Mais on peut aussi: apprendre un nouveau mot!
Bien que je n'applique pas le  "un nouveau mot par jour" puisque je ne suis pas foutue de m'y tenir et que, de toute façon, il n'y en a pas assez dans le dictionnaire pour tenir toute une vie, j'en ai tout de même appris un aujourd'hui, qui vaudrait bien le coup qu'on le retienne.

Il s'agit d'une apocope, une figure de style qui se caractérise par la suppression de syllabes ou de phonèmes en fin de mot.
Un exemple? Dire "Pub" pour publicité ou bien "photo" pour photographie.
maths, météo, lino, gastro...j'espère que vous êtes heureux d'apprendre que vous apocopez tous les jours que Dieu fait et cela sans même vous en rendre compte.
Merci maman d'être accro aux mots croisés et d'apporter une lumière nouvelle sur mon quotidien.
Brillez donc en soirée avec un petit : "Tu te crois malin à apocoper à tout va?" ou bien "Tes apocopes ne m'impressionnent pas le moins du monde!"
Préférez la deuxième proposition car je ne suis pas sûr qu'on puisse aisément le décliner en verbe.
Ce serait un peu comme dire: "Arrête de métaphorer", et ça fait vachement crade comme formulation.

Il faudra que je vous raconte comment limiter les dégats après dix décolorations successives. Et comment arrêter d'être accro à l'amoniaque des colorations pour cheveux.
Oui, il y en a à qui ça arrive...

      Comme il faut que je rebondisse sur cette information pour introduire majestueusement ce blog, parlons de cette fameuse année 1459. (rapport avec l'heure de création de l'article pour ceux qui ne suivaient pas)
Et quelle chance nous avons, les amis, car ce fut, pour sûr, l'une des années les plus croustillantes du siècle!
L'année où ce cher duc  François II de Bretagne, un 3 février, est arrivé à Rennes pour se faire visser une couronne sur le cailloux. Le veinard!

       Je vous en apprend de belles, n'est ce pas? Et je vous avoue que je le trouve, moi aussi, assez sexy. Avec un mini air de ressemblance avec Ringo. non?
Pour les plus curieux, aller donc chercher la photo de ce cher Duc sur google image.
Pour les autres, pensez à couper votre poil dans la main?
Personnellement, le mien était si long qu'il m'a déjà empêché de manipuler une souris d'ordinateur. Si on ne s'en occupe pas, il devient handicapant.
   




      Mais trêve de sarcasme, même si je ne doute pas de la popularité de notre cher ami, quelque chose me dit que tout ce blabla ne nous passionne pas autant que le résumé du dernier épisode de plus belle la vie.

     

J'ai cherché pour vous un autre 3 février, un peu plus riche en émotions.
Entre autre perchistes, patineuses et présidents, j'ai trouvé la naissance d'un type, soit disant chanteur américain de pop/reggae: Sir Sean Kingston qu'on peut écouter sur Deezer et qui appelle sont album et une de ses chansons "Kingston".Narcissisme, quand tu nous tient...

     Je continue donc d'écrire, avec sa musique dans les oreilles...( pas pour longtemps) quand j'apprends que le 3 février 1959 est le jour de la mort de la musique. Parce que cette année là, trois musiciens, et pas des plus mauvais, meurent tragiquement dans un accident aérien.
J'ai nommé Mr Buddy Holly, The Big Bopper et Richie Valens.
Pour m'en remettre, il me faudra au moins trois recettes de cheescakes afin d'éviter de gamberger ce week end et ressasser mes idées noires. Alors à vos crayons?

Parce qu'on dit jamais deux sans trois, ou Never twice without thrice  pour les plus bilingues d'entre nous.
Notons la version argentine: Sobre llovido, mojado qui nous dit "non seulement il pleut mais en plus on est mouillé", façon stroumpf grognon.
A moins qu'internet ne raconte n'importe quoi... et nous ne sommes jamais à l'abri. Pour rester dans le thème.

Voici de quoi vous repaître les oreilles de ces artistes que j'affectionne, je le confesse.






Tout ce baratin pour me rendre compte que je suis particulièrement fan de wikipedia qui vous sort trois pages pour chaque jour de chaque année de chaque siècle depuis la nuit des temps et vous apprend à écrire "affriolant" correctement. (même si vous l'effacer non sans une petite larme à l'oeil dans votre article).

Pour ceux qui habite Lille, n'oublions pas nos chers amis du Biplan et bougeons nos fesses pour aller voir à 20H30 un petit show sur un thème très actuel: